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Islam ! Une Voie de vérité !
15 juillet 2023

Au Maroc, les medias du Makhzen exercés dans le Tberguig !

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Au royaume du Maroc, riches ou pauvres, le Tberguig n'épargne aucune catégorie sociale, car pour certains, c'est un besoin primordial pour bien mener leurs journées. Synonyme de médisances, c'est une curiosité extrême qui pousse les individus à se mêler de la vie des autres.

Très certainement lié à la consommation de Hachisch et l’oisiveté qui favorise la curiosité. On regarde, on commente ce qu’on a vu ou pas vu, on diffuse une information, il peut aussi s’agir parfois d’une sorte de chasse au scoop.

Ce sport national est souvent pratiqué pour atténuer l'impact d'un conflit ou échec social enfoui dans la mémoire de l'individu. Parler des autres, de leurs échecs ou simplement de leurs vies privées est un moyen pour se dire que les autres ont des problèmes plus que nous, qu'ils n'ont rien à envier, et que peu importe ce qu'ils ont de meilleurs, ils ont aussi leurs propres défauts. Cet auto-soulagement est devenu tellement courant que les médias du Makhzen en fassent leur raison d’être, avec des envies de vengeance, et une bonne dose de haine devenue structurelle.

Le Tberguig est tant ancré dans la culture marocaine que nul n'est épargné, le jeune et le moins jeune, le riche et le démuni (sauf bien sûr la Cour de sa Majesté), les médias marocains n'ont eu d'autres choix que de parler de l’anti-algérien, au risque d'être arrêtés par la police marocaine pour publication malintentionnée d'une fausse information ou bien allégations et faits non véridiques. C'est ce qui est arrivé à certains journaleux marocains qui ont osé parler du Palais royal et de ses coulisses.

Le Tberguig est le commérage systématique lié à l’apparence permanente, à la curiosité malsaine et au voyeurisme. Un passe-temps largement favori de beaucoup de Marocains, surtout la presse qui détient l’information, même douteuse, pour se sentir important, pour être à l’origine et surtout en vue d’un rapprochement au Palais royal.

Dans le cas du Tberguig du makhzen, l’opposition avec l’Algérie est un moyen de légitimer le makhzen en donnant le sentiment d’une menace extérieure, pourtant les demandes de la population marocaines portent notamment sur la politique interne, et les citoyens ne considèrent donc pas les rivalités contre l’Algérie comme une priorité, alors le Tberguig devient une arme.

Pour les Algériens, les Marocains restent de mauvais voisins tant qu'ils accumulent des gouvernants royalistes qui pratiquent avec cynisme une politique continue d'affaiblissement politique, militaire et économique du Maroc qui va vers l’obscurantisme amené par une culture étrangère juive et moyenâgeuse.

Je crois que malgré un Tberguig médiatique, la presse du Makhzen n’arrive pas à se rendre compte ni à admettre que le royaume du Maroc n’a jamais existé tel que la propagande du Makhzen l’a façonné à jamais dans les esprits marocains, ceci dans le but de vendre une image qui ne reflète ni la réalité historique ni l’honnêteté morale. Pratiquement, il est donc aberrant de mesurer le développement d'un pays aux projets réalisés par des étrangers pour les étrangers. Le Makhzen avec ses théories farfelues se perfectionne à vouloir créer un ennemi permanent afin de se régénérer et endoctriner le peuple.

Totalement falsifiée par la propagande mensongère et stupide, l'histoire du Royaume du Maroc actuel demeure méconnue des Marocains, au point de devenir un ensemble de grandes énigmes et de nombres évènements importants de l’histoire du Royaume du Maroc sont restés trop longtemps tabous par un régime du Makhzen féodal. C’est des historiens que le disent

Dans l’histoire du Royaume du Maroc, les différents Sultans n’ont rien apporté à la population, sauf la dépossession des richesses et surtout l’humiliation de la femme marocaine pour en avoir possédé des dizaines, des centaines et même des milliers en vue de garnir leur harem, cette attitude des Sultans ne peut que qualifier le régime du Makhzen de féodal qui nie toute personnalité ou aspiration outre que celle du Sultan.,

La méfiancerécurrente de l’Algérie envers un Makhzen disposé aux plus indignes trahisons :

Aussi, un peu d’histoire pour rappel sur la période sensible de l'Émir Abdelkader, le Père de la Nation Algérienne, notre illustre stratège militaire qui avait négocié son départ de sa terre natale qu'il a défendue pendant dix-sept années de combat. Oui, dix-sept années de combat où l'Émir, en chef de résistance, avait affronté, durant 116 batailles, 142 généraux, cinq princes et 16 ministres de la Guerre. L'Émir n'avait qu'une seule ambition, c'était de libérer son pays, rendre son peuple fort, grand et prospère au sein des nations. Cependant, il faudrait bien préciser que l'Émir Abdelkader n'a pas été vaincu au cours d'une bataille, mais il a été vaincu par une cascade de trahisons.

Le sultan du Maroc, Moulay Abderrahmane, ayant reçu une défaite dans la bataille d'Isly, s'est soumis à la France, et paraphé le traité de Tanger ayant une visée unique, à savoir, interdire à l'Émir Abdelkader tout repli vers le Maroc. Dans ce sens, on peut lire l'article 4 dans ce traité conclu à Tanger le 10 septembre 1844 :

Article 4 : Hadj Abdelkader est mis hors la loi dans toute l'étendue du royaume du Maroc, aussi bien qu'en Algérie. Il sera en conséquence poursuivi à main armée par les Français sur le territoire de l'Algérie, et par les Marocains sur leur territoire jusqu'à ce qu'il en soit expulsé ou qu'il soit tombé au pouvoir de l'une ou de l'autre nation. 

Au  21 décembre 1847, ébranlé par les multiples trahisons affectant sensiblement son moral et dans une atmosphère morose et pleine d’émotion, l'Émir Abdelkader s'exprima : « La lutte est finie, Dieu en a décidé ainsi. J'ai combattu pour ma religion et mon pays... Nous devons nous rendre à l'évidence. Que puis-je faire encore dans ce pays alors que la cause est perdue ?... Quand nos citoyens rejoignirent les chrétiens, je me suis mis du côté du sultan marocain parce que nous étions tous musulmans. La seule question qui reste à trancher est la suivante : « Faut-il se soumettre aux chrétiens ou au sultan du Maroc. Vous pourrez choisir ce qui vous paraît convenable. Quant à moi, mon choix est fait. J'ai décidé de négocier avec mon ennemi que j'ai combattu et à qui j'ai infligé bien des défaites, plutôt que de me soumettre à un musulman qui m'a trahi... Je réclamerai de me rendre en terre musulmane, avec ma famille, et ceux d'entre vous qui voudront me suivre. Et, maintenant que je suis impuissant, je n'y peux rien. Je veux me reposer de la fatigue de la guerre... Il ne me reste plus l'envie du pouvoir. Je l'ai lavé avec de l'eau et du savon... ».

                                                                    Une citation d’Émir Abdelkader si cher aux Algériens :

Les cheveux poussent sur la tête et jamais sur la paume de la main…       

Faites le bien envers le chien et jamais aux marocains".

Si le sultan du Maroc n'avait pas aidé la France, l'Algérie n'aurait pas perdu 7,5 millions de martyrs et ne serait pas restée sous l'occupation française pendant 132 ans.   

Durant la guerre de libération (1954-1962), Le contentieux algéro-marocain s’alourdit à l'époque par un problème d'une autre dimension, à savoir, la revendication territoriale prônée par le Parti de l'Istiqlal au pouvoir, et appuyée par une pression continue au niveau de la frontière algéro-marocaine au sud. Déclaration publique du leader de l'Istiqlal Allal El-Fassi Fès en août 1957 : “La meilleure réponse au soutien apporté à nos frères algériens, c'est de rendre au Maroc les territoires sahariens rattachés à l'Algérie”.

En octobre 1963 : la guerre des sables : les visions expansionnistes du roi marocain le pousse à attaquer l'Algérie qui vient juste de sortir d'une guerre de 132 ans

Le 2 mars 1973 : le Makhzen Marocain dépossède les Algériens qui vivent sur son sol de leurs biens (40% du patrimoine foncier agricole public marocain appartenait aux immigrés algériens, confisqué et attribué aux juifs). La question des biens des Algériens au Maroc, dont une bonne partie est constituée de riches possessions, est un élément important du contentieux entre l'Algérie et le Maroc.  Le Maroc, qui revendique pour ses ressortissants expulsés d'Algérie en 1975, serait plus crédible dans sa démarche s'il consentait lui-même à appliquer aux Algériens spoliés ce qu'il réclame de façon récurrente pour ses propres ressortissants. C'est-à-dire une juste réparation qu'il a généreusement accordée par ailleurs aux anciens colons français et européens. La réouverture de frontières entre les deux pays et l'édification du Maghreb passent aussi par des chemins de traverse comme l'indemnisation des propriétaires injustement dépossédés de leurs biens. 

En 1994, suite à un attentat terroriste à l'hôtel à Marrakech, le Maroc l'attribue à l'Algérie, expulse plusieurs dizaines de milliers de touristes algériens, après les avoir maltraités. Le Maroc a aussitôt fait porter toute la responsabilité à l'Algérie et instauré immédiatement le visa pour les Algériens. À l'annonce de ces mesures, Alger a, dans un premier temps, choisi de répondre par la réciproque en instaurant le visa pour les Marocains et la fermeture des frontières après.  (Il s’est avéré plus tard que c’était une opération des services secrets marocains et israéliens pour accuser l'Algérie d’être un état terroriste.)

Si Les relations entre le Maroc et Israël ont toujours été marquées par le sceau de la confidentialité, comme s'il s'agissait de liaisons inavouables, politiquement incorrectes, voir potentiellement dangereuses. Pourtant, d'une manière ou d'une autre, ces relations n'ont jamais réellement cessé.  En effet, la normalisation avec l’état d’Israël, très politique entre deux propagandes viles et aveugles qui ne seront probablement pas à la hauteur des enthousiasmes du peuple marocain, mais il modifie déjà les équilibres populaires et citoyens au détriment d'un Maroc de plus en plus fragile qui en est devenue l'homme malade. Une monarchie de débiles, de pervers et de menteurs.

Et, comme on pouvait s’y attendre, le Makhzen Marocain pousserait de hauts cris avec sa rengaine anti-algérienne et en même temps son appel au lobbying du Parlement Européen, d’Israël, ceci resterait sans doute le comportement le plus adéquat comme une sorte de schizophrénie qui serait emparé de ces dirigeants du royaume, incapables de faire face aux défis économiques et sociaux de leur pays en recourant à la technique employée à savoir imputer tous leurs déboires à un ennemi extérieur.  

En effet, la monarchie n'a guère changé, les crimes et les assassinats politiques sont d'actualité, les disparitions, les fusillades en terre ou  mer, de vrais suicides faux, les siècles de prison pour qui ose dire non, bref, un enfer absolu pour les Marocains et un paradis fascinant pour les traîtres et les étrangers

Tout au long de son histoire, le Makhzen n’a pas vraiment changé de nature, il a toujours su créer et orchestrer ce type de campagnes qui tendent à discréditer le voisin algérien pour l’accuser de vouloir déstabiliser de facto le Maroc et se déclare comme un pays victime de l’ostracisme des autorités algériennes afin de fabriquer l’Algérie comme l’Ennemi, nous avons même pu constater qu’un jour le consul général du Maroc à Oran avait osé qualifier l'Algérie de pays ennemi dans l’aveuglement de sa propre fonction symbolique.  Quelle obsession !!!!

En effet, les médias du Makhzen en bon bergag ont toujours su orchestrer ce type de campagnes qui tendent à discréditer le voisin algérien pour l’accuser de vouloir déstabiliser de facto le Maroc et se déclare comme un pays victime de l’ostracisme des autorités algériennes, ce qui a donné lieu à un festival d’idioties médiatisées, qui sont devenues des hypothèses sur des hypothèses et des supputations sur supputations et juste à part vendre de la fumée.

En effet, à ce titre, le Tberguig médiatique reste le point noir est dans les relations tumultueuses Algero-Marocaines.

Devant un tel enthousiasme pour la médisance et le commérage marocain, ainsi que toutes les élucubrations journalistiques marocaines, la tête en l’air, gobent les mouches, nous, Algériens, avons préféré ne rien dire !

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