Le Christianisme en débâcle avec la pandémie de Coronavirus !
En effet, sans voir une quelconque punition dans le fléau du Coronavirus, qui nous frappe tous, tout juste si je me demande que la moralité en elle-même n’est pas une solution ?
Je trouve que cette histoire qui nous vient de Chine, nous rappelle juste notre grande fragilité et agit comme une petite piqûre de rappel. Là, il s'agit peut-être d'une simple mutation d'un virus, d'une petite bestiole et voilà, l'émotion et la peur fait le tour du monde. Nous mesurons ainsi à quel point nous sommes vulnérables, à quel point nous cumulons les risques de catastrophes.
Cet événement est bien un micro signal et veut dire quelque chose, si l'on y regarde d'un peu plus près même dans les pires catastrophes, on pourra toujours trouver des points positifs.
Très souvent il est affirmé que le christianisme dans son ensemble, reste compatible avec des réalisations d’une civilisation, telles que la liberté, les droits de l'homme, l'égalité, la démocratie, le mode de vie de la société occidentale, l'autonomie individuelle (Mariage pour tous etc.). Toutes ces affirmations sont, bien sûr qu'une image limitée au symbole d’un système éthique basé sur une pensée humaine et irrationnelle dérivant du surnaturel, qui aurait diminué le christianisme de ce qui fait l’essence même d’une croyance. Il s'ensuit que le christianisme par ses fruits en regardant son histoire, on peut voir un arbre dont les fruits sont pour la plupart pourris et impropres.
«Par leurs fruits, vous les connaîtrez. Les hommes cueillent-ils des raisins d'épines ou des figues de chardons?» (Matthieu 7:16)
Dans le monde catholique, le Pape est devenu un Dieu substitut doté du charisme d’infaillibilité, un moyen de revendiquer sa suprématie sur tous. Le Pape a fini par apparaître comme Dieu ou le Christ sur terre. L'adoration est définie comme l'obéissance au Pape qui représente la volonté entière de Dieu pour tous les hommes à travers le temps. C’est la déification de l’Homme.
Ces incompatibilités ne représentent qu'une manifestation particulière d’un écœurement beaucoup plus essentiel. C'est là que réside la contradiction fondamentale du christianisme Les rapports sont désagréables et souvent, cela fait sentir un peu humble, fait penser un peu au monde.
Penser, vous savez, peut favoriser des actions indésirables, les chrétiens ne sont ni plus ni moins humains que quiconque. Et il y a le hic.
Portant c’est auprès de certains groupes religieux qui ont été des vecteurs de contamination, initialement de manière fortuite. Dans plusieurs cas, il s’agit de sectes des institutions religieuses, ce qui a renforcé les réactions de méfiance du public.
Le christianisme, comme toute idéologie utopique d’une société parfaite et finale, suppose être un terme à la révélation divine et à l’évolution sociale humaine.
Non seulement le christianisme n'admet aucune évolution ultérieure mais il est aménagé de manière à exclure toute possibilité d'une telle évolution.
Soumettre et dominer le monde pas seulement une idée, c'est une action. Certaines informations rapportent que l’Eglise catholique vient d’atteindre le summum du ridicule, révélés par la crise du Coronavirus, l'Eglise catholique a décidé d'accorder, sous certaines conditions, «L’indulgence plénière», (pardon des péchés) aux croyants atteint de la maladie Covid-19, qu'ils soient à l'hôpital ou à leur domicile. D’après un décret pontife rendu public émis par un tribunal du Vatican, le pardon concerne aussi d'autres fidèles catholiques, pour bénéficier de ces indulgences, les malades devront participer à un certain nombre de célébrations retransmises à distance ou d'autres formes de dévotion, en ayant aussi « un esprit détaché de tout péché », stipule le décret vaticane. Même chose pour ceux qui prient pour eux, la lecture de la Bible par exemple devra se faire pour au moins une demi-heure. Ainsi figée dans la barbarie médiévale, l'humanité de l’Eglise et le jugement moral, est supprimée.
Un prêtre de sensibilité traditionaliste, n’a pas hésité à souffler symboliquement sur le virus en le déclarant détruit. «J’exécute le jugement sur toi, Covid-19 !».
La pandémie se transforme ainsi en un combat contre des puissances démoniaques.
Certes, il s'agit d'un cas de peurs prétendantes, que nous verrons de plus en plus au fur et à mesure qu'il apparaîtra à une plus grande proportion de personnes que leur vie est vraiment en danger et qu'elles peuvent y faire quelque chose s’ils trouvent refuge à l’église qui sait ce que la pandémie Covid-19 n'a rien à voir avec Dieu. Il s'agit simplement de défier l'infidèle Satan qui cherche à tromper les chrétiens de leur croyance.
La certitude d'être chrétien avant d'être humain persiste, les clercs chrétiens sont un genre d’homme à part, pour eux «La foi protège et que l’infection ne peut pas se transmettre dans une église».
«Les médecins, infirmiers, infirmières, sœurs, prêtres qui sont décédés en combattant la pandémie de Coronavirus sont morts au front comme des soldats qui ont donné leur vie par amour », a déclaré vendredi 10 avril le pape François.
Le souverain pontife a estimé que ces hommes et femmes rejoignaient la liste des «crucifiés de l’Histoire », lors du vendredi saint, qui commémore la crucifixion et la mort de Jésus. C'est avec de tels clercs et au nombre élevés de croyants qui s'accrochent à leurs moindres mots, avec leurs esprits médiévaux, ce ne serait que de l'arrogance face à la complexité complète de l'énigme dans laquelle les chrétiens se retrouvent pris au piège à cause de CoVID-19, l’image la plus frappante aux célébrations liturgiques de la semaine pascale en avril sans la présence physique des fidèles.
Même à l’église du Saint-Sépulcre, certains remplacent le baiser et se contentent désormais de toucher les pierres vénérées, la distribution de la sainte eucharistie directement sur la langue est interdite, Il a été recommandé aux prêtres et aux ministres de se laver les mains après avoir donné la communion, et vider les bénitiers présents dans l’église.
La conviction que la foi permet d’être préservé du virus ou que le groupe religieux dispose des outils spirituels pour le prévenir et le guérir le cas échéant, il y avait d’ailleurs une certaine ironie à voir des groupes annoncer, au début de la crise du COVID-19, l’annulation de leurs cultes de guérison…
Mais les nouvelles de l’évolution de la pandémie ont été implacables hors église, le virus fait de plus en plus de victimes, à tel point que même les religieux chrétiens portent maintenant des masques et ils acceptent maintenant que la maladie est là, dans l’église même et que ce n'est pas le moment pour les fanfaronnades. Certains groupes religieux ont donc été des vecteurs de contamination, initialement de façon involontaire.
Pour les juifs s’estimant peuple élu, et qui n'écoutent que ses rabbins et biens sur certains rabbins ont expliqué que l'annulation de l'étude de la Torah est plus dangereuse que le Coronavirus, d’autres estiment que l'étude biblique protège la communauté de tous les maux alors il s'est avéré que plus d’un quart des personnes testées positives au virus l'avaient contracté dans une synagogue. Toutefois les autorités israéliennes mentent sur le nombre présenté, sur qui il faut multiplié par 10 voire 100.
Israël et ses juifs, est en crise, comme toujours d’ailleurs car Il n’y a jamais eu de nation juive, seulement des juifs., et cet état juif se trouve dans un dilemme d’abord pour cacher et minimiser les statistiques de la pandémie, un élément de l'hypocrisie qui fait tourner les autorités israéliennes, et ensuite de prendre quelques timides mesures telles que : suspension des embrassades des personnes, report des mariages ou limitations du nombre des participants, interdiction du rite de purification du corps du défunt en cas de Coronavirus, sans oublier que les juifs évitent désormais le baiser du Mur des Lamentations…
Sans oublier cette communauté haredi de leur mentalité primitive reste le maillon faible et flagrant des contre-mesures la plus frappante en Israël, qui refuse de respecter les règles édictées, ainsi avec leur mode de vie antimoderne, foyers surpeuplés, une natalité galopante, un don de Dieu, population qui bannissent toute modernité pour vivre en marge dans un état israélien fatalement et superstitieusement moderne.
Des missionnaires religieux de tous bord utilisent des méthodes innovantes pour prêcher pendant la pandémie, l'énigme chrétienne COVID-19 survient à un moment où le christianisme est assiégé à la fois par les critiques et par les apostats cependant :
Le Coronavirus a ouvert la contradiction entre l’Occident chrétien et l'humanité.
Le Coronavirus a ouvert la contradiction entre le juif et le juif et nous a montré qu’il n’y a jamais eu de nation juive, seulement des juifs.
C'est l'ironie finale que le foyer de cette pandémie est l’Occident fief de la Chrétienté !!!
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